Traverser Paris en écoutant un violon jouer. Paris et seul son audible, ce violon solitaire qui, progressivement, va creshendo et enfle, appuyé par d'autres instruments. Traverser Paris, la cohue et le gris, le nez en l'air, les oreilles au paradis. Complètement fermée. Il y a eu quelques secondes magiques.
Les seules de cette journée.
Ensuite, black out total.
Des litres de larmes déversées.
"Pourquoi t'as pas l'air heureuse?"
Et cette inquiétude partout.
On fait style qu'on voit pas les yeux gonflés.
On câline sur le canapé.
Sans y toucher.
Et la porte close, c'est le vide qui scie en deux.
C'est toute la stupidité, l'angoisse, le stress et la pression.
Qui tombent.
Un petit peu.
Et tout ce silence.
Toute cette coupure.
Comme des coutures qui craqueraient trop fort.
La fois de trop.
Mais pas encore.
Ensuite, black out total.
Des litres de larmes déversées.
"Pourquoi t'as pas l'air heureuse?"
Et cette inquiétude partout.
On fait style qu'on voit pas les yeux gonflés.
On câline sur le canapé.
Sans y toucher.
Et la porte close, c'est le vide qui scie en deux.
C'est toute la stupidité, l'angoisse, le stress et la pression.
Qui tombent.
Un petit peu.
Et tout ce silence.
Toute cette coupure.
Comme des coutures qui craqueraient trop fort.
La fois de trop.
Mais pas encore.