Semaine de merde. Y'a des moments où çà va, où les sourires tiennent la route et des heures et des heures où "çà" prend toute la place. C'est pas de la douleur, c'est juste un vide monstrueux. Le Vide qui revient. C'est celui des partiels. Avec les doutes, les angoisses, les paniques, le stress. Les paranos et les envies de câlin. Tout çà, çà prend trop de place et en même temps, çà prend rien. La majorité est appuyée contre les parois. Tout le reste est occupé par ce vide, cette incompréhension, cette stupidité latente à vivre. Pourquoi tu vis, toi ? C'est quoi l'intérêt de souffrir tout le temps?
J'ai de la bile dans la bouche. Une solitude monumentale. Une solitude qui se voit pas parce que je suis censée être en famille. Mais une solitude quand même et toujours ces putains de larmes qui veulent pas s'arrêter tous les soirs. On en dira rien, hein. On cache ici et on serre les dents. çà serait stupide de se foutre en l'air et de donner à certains une année qu'ils n'ont pas mérité. Je perds. Mais faut pas le dire. Surtout pas. Ici, c'est bien, c'est caché. Je raconte ce que je veux, quand je veux.
Perspective.Univers
Ebauche
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La vie est nulle, je pense pareil certains jours malgré tout mais y'a des petits riens qui font qu'elle est "vivable" & il faut se rattacher à ça.. À ces petits riens.. Je sais que c'est pas facile certains jours, tiens le coup <3