Perspective.Univers
Ebauche
Et d'un homme qui me dira, malgré tout, qu'il n'a pas l'intention de partir.
Pour m'arrêter et commencer à faire à mon rythme. Sans la peur constante que tout s'effondre.
Et la robe, parce que la robe. Rêve d'enfant.
Eclats de Rêve, le Lundi 10 janvier 2011 à 11:20.
Mais là..
Mais cette porte qu'il ne franchit pas, je l'avais déjà vue.
Et le duo.
" Avant, c'était tout noué. Et maintenant, c'est tout tendre, tout chaud. "
Eclats de Rêve, le Lundi 3 janvier 2011 à 22:50.
fais moi voir tes cicatrices fais moi voir pourquoi t'es triste quand vient le soir vas y ouvre moi ton cœur
je veux comprendre ces regards ce qui t'arrive on est si bien mais je pars je n'y arriverai pas sans toi
quand même, on se doit bien tout ça, on est arrivé la quand même on se mentira pas c'est pas la peine;
et la peine on connait, c'est sûr on est armé c'est vrai; mais moi c'est pas la guerre que je voulais
moi je voulais ton regard qui s'illumine sur nous toutes ses années qui s'éternisent voila je n'y arriverai pas
part ne t'arrête pas vas y part ne retourne pas dans cette rue ou je t'ais vu la première fois
court ne t'arrête pas vas y cours je reste là moi je suis sûr qu'on se retrouvera un jour
moi je voulais ton regard qui s'illumine sur nous toutes ses années qui s'éternisent voila je voulais ton regard qui s'illumine je n'y arriverai pas .. je n'y arriverais pas .. je n'y arriverais pas
G. Cantillon - Vas y Parle !
Et je réalise que je raconte toujours les mêmes histoires.
Toujours les mêmes coups de coeur.
Je ne change pas.
Mais, putain, si vous saviez combien si, en fait.
Et pour le plaisir :
Bonne Année.
J'aurais du garder ses zigouigouis, çà aurait fait plus gai.
Eclats de Rêve, le Samedi 1er janvier 2011 à 22:03.
chacun des cœurs que tu rencontres.
Eclats de Rêve, le Jeudi 23 décembre 2010 à 23:05.
Eclats de Rêve, le Dimanche 19 décembre 2010 à 19:37.
Attendez. Je veux voir le visage d'Aurélie.
Vous étiez là, toutes les trois. Déjà venues dans ce paradis sans mots. Vous connaissiez et vous marchiez en habituées sur des panoramas pantagruéliques. Les mots manquent encore. J'aimerais tellement qu'ils ne soit pas si faibles! Comment.. Comment vous raconter.
C'était quoi cette surprise ? C'était quoi cette beauté ? C'était quoi cette surprise ?
J'étais là, à marcher dans un virage. Attendant à tout instant de découvrir la nouveauté. On était en chemin caillouteux. Comme celui de cette peintre retirée du monde, retirée dans un monde unique. On était là, toutes les quatre. Riant et plaisantant. Moi, plus anxieuse que les trois autres. Et il faisait beau. Il faisait doux. Du ciel bleu, des mouettes. Je me souviens même du bruit des mouettes! Quelques nuages. Et puis, on a entamé ce virage. Et j'ai commencé à pleurer.
La surprise n'était pas vraiment pour moi. C'était plutôt la Liberté pure. Atteinte en une fois, d'un coup. Une liberté définie différemment, bien trop grande pour moi. Trop, trop, trop.
C'était une baie. Une baie où l'eau était couleur nuit. Une baie avec des voiliers et des maisons qui plongeaient dans l'eau. Des facades aux couleurs chaudes, brulantes. Amoureuses de cette eau. Ouvertes et fermées. Encadrements blancs des fenêtres. Il y en avait partout des maisons dans cette baie. Et c'était incroyablement beau. Une immense falaise. Un phare sans sommet nous attendait. Une bâtisse imposante. Essoufflante.
Attendez, je veux voir le visage d'Aurélie.
Elle était là, avec son sourire. Et sa voix.
Et la magie des rêves a fait le reste. Les maisons se sont transformés en panoramas qui, maintenant, se mélangent dans mes souvenirs. Je me souviens seulement de mes lèvres. De mes yeux. De mes pleurs et de cette émotion intérieure qui a tout balayé. Le pouvoir des rêves qui m'a fait trouver le lieu où toutes les mauvaises pensées, tous les mauvais actes, toutes les douleurs, tous les doutes. Toutes les colères. Toutes les haines. Toutes les impatiences. Où tout, tout, tout s'était évaporé. Et j'ai pleuré. Pleuré de liberté, pleuré de vivre assez pour voir une telle chose. Pleuré encore et encore.
Y'a eu leurs bras autour de moi. Même dans mon rêve. Même dans mon sommeil. La chaleur de leurs corps d'adolescentes. De cousines, de presque soeurs. De miracles de douceur.
Et sous mes pauvres yeux trop faibles pour tout accumuler, montagnes, sable, neiges, glaciers. Toutes les images immenses qui se trouvaient à l'étroit de mon subconscient ont explosé dans mon rêve. Magie de ces rêves. Magie infinie qui les a assemblé, aligné et mis en choeur juste pour moi. Pour me faire craquer de l'intérieur. Que le reste prenne la place. Tout ce Moi que j'étouffe.
Attendez, je veux voir le visage d'Aurélie.
Tu y aurais vu une joie pure. Une émotion pure. Un truc trop grand encore pour moi. Tu y aurais vu la fin. Le renouveau. Tu y aurais vu une fille que tu n'as jamais vu. Tu aurais vu une fille qui disait merci de tout son être.Tu aurais vu une fille qui manquait d'air et de force, qui manquait de tout se remplir de tout.
Eclats de Rêve, le Samedi 18 décembre 2010 à 16:24.
Mille.
Eclats de Rêve, le Lundi 13 décembre 2010 à 9:45.
Décalées, toutes.
Parce que belles.
Toutes sur la marge.
Rêvant d'une rencontre quand elles sont déjà trop loin.
Exil infini de qui cherche la présence.
Marc Desombre
Ce poème parce que, ce poème. Il s'est arrimé à mes pupilles le temps d'une attente sur un quai. Un métro qui n'est pas arrivé tout de suite. Un métro qui a permis de se pencher sur les livres, les images et les textes proposés à cette station. Prendre le temps. J'ai déjà raté un, deux et même trois métros pour remonter la longue procession de trésors sous vide et lumières tamisées. Et ce poème était là. Perdu tout en haut de la cloche en verre. On le voyait peu. Je voyais la photo, surtout. Une photo libre. Et j'ai commencé à lire. Ce poème parce que. Ce poème. Les mots roulent, s'assemblent, jouent avec les idées comme entre eux et se disposent si bien. Ce poème, tout simplement.
Eclats de Rêve, le Jeudi 9 décembre 2010 à 22:23.
Eclats de Rêve, le Mercredi 8 décembre 2010 à 17:06.
Eclats de Rêve, le Samedi 4 décembre 2010 à 15:30.
Eclats de Rêve, le Mercredi 1er décembre 2010 à 16:22.
Vous créez le besoin de plus, de neuf.
Je vois le chiffre dans ces mots.
Pas le nouveau.
Le Chiffre.
Et çà, çà fait une phrase qui fait tout voler en éclats.
Eclats de Rêve, le Mardi 30 novembre 2010 à 22:29.
Eclats de Rêve, le Lundi 29 novembre 2010 à 23:16.
C'était Samedi, il y a longtemps. Quand je me suis assise dans le Sacré Coeur et que le père et le fils se sont assis derrière moi.
La voix fluette un peu trop forte, qui soudain, a chuchoté trop fort. Parce que. " Chut. Tu sais, ici, il ne faut pas parler à voix haute ".
Alors, il a chuchoté et sa menotte est venue chatouillé mes cheveux sur la droite. Le père a expliqué les anges. " Tu vois, là bas, regarde. Ils ont des ailes dans le dos "
Et..
Eclats de Rêve, le Mercredi 24 novembre 2010 à 22:31.
Eclats de Rêve, le Mardi 23 novembre 2010 à 23:47.
Il existe toujours. Avec moi et en toi.
Et je suis là. Je reste là.
Eclats de Rêve, le Mercredi 10 novembre 2010 à 20:34.
C'est fini, Joël. çà va bientôt s'arrêter.
Je sais.
.. Qu'est ce qu'on fait ?
.. .. On savoure.
Eclats de Rêve, le Mercredi 13 octobre 2010 à 20:57.
Eclats de Rêve, le Vendredi 8 octobre 2010 à 20:00.
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