Perspective.Univers

Ebauche

S'entravent, s'acclament, s'étreignent, s'enlèvent.

Extrait de la Vie, le Dimanche 26 juin 2011 à 12:43.

Ce que je préfère, c'est la question.
Et.. vous vous êtes rencontrés comment ?

En général, c'est toute la Vie qui s'installe, dans un dixième de seconde. Dans un soulèvement du coin des lèvres. Dans un bleu sur le coin de la pupille à chacun. Le hasard d'un geste. D'un emploi du temps.

Personne n'est à l'abri.

Extrait de la Vie, le Samedi 21 mai 2011 à 9:00.

Elle racontera des bougies au coin des histoires. Avec des souris à la chat du Cheshire. Elle te dira des mots de tous les jours sous le format d'Amour. Elle te racontera des secrets en chuchotant à voix haute. Elle te lira des histoires. Au coin des bougies. Te sourira par dessus la flammèche. Te dira des mots d'amour, tâchés par des mots de tous les jours. Elle racontera n'importe qui, ennivrée par le vin. Elle t'avouera des tas de secrets en criant à tue tête. Collants multicolor, elle montera échasses et justaucorps pour te danser une vie toute en associations. elle te racontera n'importe quoi du haut de sa hauteur toute basse. S'écroulera sur une pierre qui roule. Tu la rattraperas dans tes bras, dis ? Le silence s'alourdit. Les mots s'effacent. elle ne veut plus écrire. Elle veut passer des après midi à se rouler dans l'herbe, à vaincre ses peurs, à pleurnicher tellement le bonheur, çà fait mal. elle prendra la route avec ses rêves et son manque d'argent. Elle visitera toutes les villes que Jo lui a dit d'aller voir. Elle empaquettera fébrilement la fierté de ses parents. Petit ballot bien caché. Petit ballot qu'elle ne devra pas ouvrir avant d'avoir le sentiment de l'avoir mérité. Elle s'en ira loin sur les chemins, là où la vie prend toute la place, où les mots valent pu rien. Elle se tiendra nue devant l'inconnu. Devant le mal de ventre. Devant cet inconnu là. Elle te racontera tout çà, du bout des lèvres. Une fois revenue, hâlée, crispée et décadente. Décalée, désossée, remontée à l'envers, reconstruite en vrac. Elle a peur de devenir un puzzle sans fin et sans but. Un puzzle d'art abstrait, de sourires invisibles, de larmes et de coups de peinture. Raconter. Utiliser des mots. Elle voulait dire un truc très con. Mais ne te le racontera pas forcément. Elle le laissera sur une page de cahier. Abandonnée au milieu des autres restées vierges. Vierges de tout et de sa main. Elle te dira pas. Elle te dira que le futur, elle y a jamais cru et qu'elle l'a jamais utilisé. Elle te dira que le présent pèse mille tonnes de tonnes. Aussi lourd que ses membres le matin quand rien ne l'attend. Elle s'intitulera " Tu me manques ". Comme ces filles auxquelles elle appartient, qui crient sans parler combien tu manques. Combien elles manquent. De toi. D'un Lui. D'un sourire qui ne vient pas. Les vies de tous les jours, elles les dessinent. Dessinaient. Aujourd'hui, elle prend des photos où les gens sont absents. Et çà, c'est bien le plus important. La nature décadente, décroulante, éblouissante et vengeresse s'acclame dans ses pixels. Elle n'en revient pas d'une telle nature, d'une telle richesse. Elle meurt de l'ignorance crasse. Elle meurt de toute la mocheté qui l'empiètte. Elle te dira tout çà. Ou pas. Que peut elle faire, au juste ? Couper les liens. Faire une accolade. Un Au Revoir, surtout ne m'appelle pas! je t'aime, mais pas assez pour entendre ta voix et sourire de ton bonheur. Aujourd'hui, les sourires factices s'affichent mal sur son écran. çà brouille ses radars, çà effarouche sa faible confiance. Elle aime pas les sourires crampés des gens qui attendent deux heures que tous les réglages se fassent. Elle préfère les surprises de la nature aux brushing ré-arrangés, aux sourires qui font mal parce que tenus trop longtemps et factices. Elle préfère les angles des photos. Les gens inconnus qui s'arrêtent dans le cadre sans le voir. Elle préfère les inconnus. Leur invente des dialogues. Brièvement, s'imaginent leur vie. Mais elle part tellement vite d'un coup que le monde la retient. Elle les regarde, leur sourit avec tendresse et se doutent qu'ils sont heureux. L'ont été. Le seront. C'est con la vie. çà suit toujours le même schéma. Tu tombes, t'es heureux, tu tombes, t'es heureux. Tu tombes, tu comprends assez vite que c'est cyclique et tu t'attelles à trouver ton moment Bonheur. Elle te chantera peut être une chanson. La fille à la voix juste qu'elle était avant à larmoyer sur du Céline Dion. Elle essaiera un jour. Après que tu sois parti. Un soir, imbibée de soûl, elle te racontera en chanson, une partie de votre vie ensemble. Elle attendra que la fin soit venue. D'ici là, elle restera plate. Elle racontera n'importe quoi.

Aujourd'hui, elle prend des photos où les gens sont absents. Et çà, c'est bien le plus important.

Elle garde des souvenirs de vous vivants, vifs comme les argents et gais comme les pinsons. Elle retiendra les fous rires, les grimaces, les délires stupides, les discussions jusque pas d'heures à chouiner sur le monde, sur notre incompréhension, sur notre toute petite taille dans le cosmos. Elle garde les éclats de rire spontanés qui explosent et font vibrer l'air autour. Elle retient les crises de larmes. Elle retient tous les moments où la douleur l'a complètement dépassée. Où la colère a tout dévasté. Elle retient tout le vivant qu'une photo préparée ne tient pas. Parce que les plus belles photos sont dans les chutes. Quand le naturel reprend le dessus. Et c'est dur, les photos où le naturel reprend le dessus. Sans chichis ni fioritures. 

Extrait de la Vie, le Jeudi 21 avril 2011 à 23:30.

Ce soir, j'ai vu une petite haute comme trois pommes se mettre à courir vers son papa qui arrivait en sens inverse. Les bras ouverts, le pied incertain et surement la voix au maximum de sa capacité décibeliale.

Et il y avait un étudiant bohème qui jouait de la guitare, face à la Seine. Sur la pointe de la presqu'île.

Et l'eau de la Seine, cet après midi, était.. magnifique. D'un vert bouteille démentiel.
Et sûrement pas naturel. Mais qu'importe.

Il y a eu ce bisou échangé, volé devrai-je dire. çà m'a fait sourire. Et mon sourire a accroché le regard d'une autre dame. Il a suffi d'un dixième de seconde, elle a souri. Mine de rien, un sourire, çà rebondit très très vite.

Et croyez le, ou non, mais j'ai attrapé mon premier coup de soleil.
En quarante minutes à marcher en plein soleil dans les rues de Paris.
Envie de dire que.. la saison est ouverte!


Extrait de la Vie, le Mardi 22 mars 2011 à 19:25.

Je hais la Saint Valentin. Haut et fort, comme toute fille esseulée et aigrie qui se respecte. Mais les autres années encore, je relativisais, c'était une antipathie cordiale, rehaussée de rictus et de grimaces. Mais cette année, la Saint Valentin 2011 commence sur les chapeaux de roue avec une apothéose : un an de relation vient de se rompre par un texto pathétique de lâcheté. Et c'est ma cousine qui se retrouve jetée à la rue, comme une malpropre. Alors qu'elle mérite tout et plus encore, son super-trop-cool chéri vient de lui envoyer en clair, en direct et en T9 : c'est fini. Et le hasard fait bien les choses. Aujourd'hui. Si c'est pour se mettre en couple avec une autre nana, le jour même de la Saint Valentin, histoire de faire " soooo romantic ", je l'étranglerai. Mais çà, je ne le saurais jamais. Donc, monsieur a la vie sauve. Mais pas ma cousine. Ma cousine, amoureuse, déracinée car envoyée à Paris pour ses études, se devait de gérer déjà la distance, la pression des cours et un quotidien pas forcément très rose chez des gens qu'elle ne connait pas forcément très bien. Et il vient de la jeter. Elle. Elle n'est pas seule pour affronter la montagne de l'enfer qui l'attend. Mais quand même. il faut le faire. 00h03 : Rélie, je vais pas bien.. Bienvenue dans le jour de la Saint Valentin! Surtout que je sais que, elle!, elle ne l'avait pas oublié ce jour. Et que ce jour maudit rajoute une couche d'enfer à son enfer déjà immense. Pourquoi. Pourquoi. Pourquoi. Pourquoi.

Extrait de la Vie, le Lundi 14 février 2011 à 0:51.

Les oublis. 
Les oublis tout le temps. 


Paulhin part travailler.
J'ai 21 ans.
C'est la pagaille.
Un vide rempli de pagaille.

Extrait de la Vie, le Dimanche 23 janvier 2011 à 18:20.

Et c'est une histoire de ce style. 
Les gens qui râlent avec la pluie
et les nuages gris
et ceux là même qui baissent leurs volets
quand le soleil vient cogner à leur fenêtre.
Ceux là même. 
Une même histoire. 
Les mêmes non sens.

Extrait de la Vie, le Dimanche 16 janvier 2011 à 12:28.



Parce que c'était Nowel. Que c'était le paquet de clopes à acheter un vingt cinq Décembre. Cette course effrénée dans ce hall de gare. Ces fous rires. Ces repas devant la télé énorme. Entre les photos du Catamaran et la vie de la Détentrice des Secrets qui tombe par la fenêtre. Ces mots échangés sur une place d'hôtel de Ville envahie de petites bicoques en bois. Ces sourires. Ces non dits hénaurmes qui ont arrêté de prendre de la place. C'était la découverte d'un quotidien qu'on avait jamais vu. Depuis des années. On était quatre. Quatre différentes. Quatre ensemble. C'était Noël et c'était un peu la folie douce. Les dortoirs à quatre, les fous rires dans le noir. Les histoires qui font grincer des dents et les guillis qui font hurler de peur. Avant, c'était Halloween pour mon anniversaire et celui de S. C'était l'Eté à jouer au tarot, au Keum's, à vendre des cailloux et à courir en ligne droite depuis le salon pour aller s'effondrer dans les vagues. C'était Nowel chaque année différent. Et on avait les chorés. Les chorés, c'était un truc étrange, tu vois. C'était les trois filles qui s'éclipsaient trois ou quatre après midi, qui ramenaient des chaises et puis qui ramenaient les gens. Venez, venez. Moi, je m'occupais du son et je supervisais. Trop de temps dans la piscine pour me déclarer danseuse à temps complet. C'était les vacances de Février au ski. AS et moi, on aimait pas trop çà. Je suis tombée amoureuse de mes profs de ski. L'un puis l'un puis l'autre. Et puis on se payait de bonnes gamelles. Mais j'aimais pas les cours. Moi, je voulais qu'on soit ensemble. Et quand on s'est décidé à aller ensemble parce que tout le monde batifolait à la même vitesse, j'ai aimé çà. Les remontées à brailler Petit Papa Nowel. Les cris, les batons qu'on agrippe, les batons pas assez agrippés qui sont comptés. Un puis deux, puis trois. Puis cinq! lui, il était pas doué. Le froid du vent glacial qui les faisait grincer. Les fous rires transmis de nacelles en nacelles et puis ensuite, une fois que t'as lâché toute prise avec la peur débile, tu descends les pistes, tu te crois gracieuse et tu finis en chasse-la-neige, encastré dans ton petit frère qui faisait une petite pause. Oui mais toi, t'avais pas vu la plaque de verglas. Ah le fou rire, mon dieu. Ils étaient tous ensemble en bas et ils rigolaient à s'en faire éclater les joues et nous, on était là, encastrés à descendre à la Papy Mamy en balade. Y'avait la piste à herbes folles aussi. Rebaptisée La Piste d'Aurélie, en honneur à la crise de nerfs phénoménale que j'avais eue devant l'étendue du désastre. Les skis qui accrochent, la buée sur les lunettes, la peur de te péter un genou et la décision. Je descendrai sur les fesses. Et voilà que je me déchausse, fière. Et le cri unanime. J'ai rechaussé et j'ai explosé. La Piste d'Aurélie, quoi. Se trouvant pile poil sous un télésiège qui avait une fâcheuse tendance à s'arrêter souvent, nous permettant d'écouter railleries, conseils et fous rires en tout genres. La Piste d'Aurélie. Piste noire, je vous prie! Piste noir, à herbes folles. Tout le monde a compris à quoi servait le panneau jaune fluo marqué Piste fermée. Non pas à nous prouver qu'on était de vrais rebelles. Non, non. Juste à nous prouver qu'on était de vrais cons. La Piste d'Aurélie. Tout ce qui est à moi n'est jamais demi mesure. Tu es dans la mouize, si tu es avec moi, tu y es jusqu'au cou. Eh oui. Mais je m'égare. Y'avait les restaurants du midi et les démarches chaloupées. Les courses poursuites dans les étages de l'hôtel et le restaurant où il fallait être bien habillé et bien portant. Les années où mon cousin et moi nous rebellions et faisions des scandales à table avant de partir les joues et les yeux brillants se mettre dans les fauteuils à jouer au .. j'ai perdu le nom .. en attendant qu'ils finissent. Il est 23h40 et il a suffi de cette musique époustouflante. 

C'était Avant.

Extrait de la Vie, le Mardi 4 janvier 2011 à 23:40.

Et c'est quand je lis des articles brut de réalité que l'envie de mourir est la plus forte. De toute manière. A croire que la Merde est un boomerang et qu'elle nous rattrape où qu'on aille. 

Où qu'on aille. 

Extrait de la Vie, le Mardi 4 janvier 2011 à 19:46.

Y'a des choses qui dépassent l'entendement. J'aimerais que çà s'arrête. Vraiment. Juste une pause mais énorme. J'aimerais ne dépendre de personne. J'aimerais une voiture et des moonboots. Des CD et un bonnet. çà rechigne à aimer la neige. A la télévision, çà me rappelle Saint Arnoult. Je sais pas si vous y étiez. Mais nous, si. Et c'était vivant. Les gens étaient vivants. Certains profondément en colère. D'autres résignés. D'autres efficaces. C'était un moment assez fou. Une nuit qui a duré très longtemps. Des moments de survie. Viens, viens, on se mettra sous la couverture et on dormira. Allez viens, Papa. Ils sont tous cons de toute manière, hein. Mouvoir une Espace dans un amas monstrueusement étendu de voitures. Ben c'était un exploit. Un exploit neigeux. Comme la colère de mon père qui est descendu de voiture. Qui a marché le long de l'autoroute. Fou de rage. Il est tombé même. On avançait au pas. Il était loin devant. Ensuite, çà a été mon tour. Dans ces moments là, tu croises des gens de tout bords. De tout horizons. Tous dans la même poudreuse blanche. Tous à manger de la neige parce que. " On peut rien faire qu'avancer au pas ". " On prend notre mal en patience ". Ce genre de moments, ils sont jamais biens pris par les gens à responsabilités. Toujours le stress. Toujours la colère. Toujours la vitesse, l'efficacité. Je redoute de perdre mon flegme. Plus tard. D'entrer dans la marche et de perdre tout ce temps que je passe à regarder. Tout le monde le dit. C'est pour tout le monde pareil. Le monde va trop vite. Il se dénature et nous, on crève de vitesse. De fatigue. Plus tard. Mais bientôt, en fait. Plus tard, c'est demain.

Extrait de la Vie, le Mercredi 1er décembre 2010 à 23:34.

Et puis, je lui ai dit la vérité d'un coup.
Hop là. çà les arrête toujours un peu.
Et pourtant, vous savez, c'est ma vie. C'est comme çà, pas autrement.
Et puis, je suis là quand même. J'ai d'autres choses.
Mais je lui ai dit comme çà. Parce que j'arrive pas à mentir.
Déjà je sais pas. Et ensuite, çà sert à quoi ? 
Un mensonge, c'est pas aisé à porter.
A supporter. A assumer.
Et puis à tenir aussi.
Somme toute, des encombrements inutiles.
Mais, pour la Société, tu vois, je suis.. "différente".
Ce qui est fortement con.
Une vraie. Connerie.
Les différences sont à tous les niveaux.
Et toutes sont compliquées à assimiler.
A regarder. A comprendre. A apprécier.

C'est faaaatiguant.
:)

Extrait de la Vie, le Jeudi 25 novembre 2010 à 21:35.

çà faisait longtemps que je n'avais pas posté depuis la salle info de la fac. Surement parce que je n'y suis que très rarement depuis le début de l'année et qu'il faut un jour comme aujourd'hui pour que je vienne à 8h39 posté quelque chose.

Depuis quelques temps, on voit partout des articles, des reportages ou des gens qui parlent de la menace terroriste. Comme quoi, elle est très grande, que çà devient dangereux, etc. Bref, tout pour affoler la ménagère. C'est pas que je m'affole mais il y a quelques jours, dans le train, j'ai vu un mec sortir du train au moment de la fermeture des portes. Peut être qu'il s'était endormi, peut être qu'il était perdu dans ses pensées, peut être que.. plein de trucs possibles. Mais cela étant dit, je me suis brusquement imaginé que c'était un mec qui venait de laisser un paquet et que le train sur le quai d'en face allait exploser, juste devant moi. Cette pensée est surement du au livre 19 Secondes ( de Pierre Charras ) que j'ai lu pendant les vacances et qui m'a proprement marqué, il faut croire.

Tout çà pour dire que, je me suis imaginée le futur si je venais à être victime d'un attentat. Et je me suis imaginée ici. L'arrêt des post, l'arrêt des mails, l'arrêt des sms. Qui, au juste, pourrait savoir que je suis morte dans un attentat ? Je ne me souviens pu s'ils publient les noms des victimes ou si ce sont juste un chiffre. Mais qui pourrait l'imaginer au juste ? 

Vous pourriez croire à tort que j'ai brusquement décidé de couper les liens avec tout le monde. Que j'entame un nouveau truc, que je change d'orientation, de point de vue, de lieu de vie ou un truc similaire. Mais de là à m'imaginer morte.. Je ne suis pas sure.

Même les gens de la fac ou que j'ai vu en fac pourraient penser tout un tas de choses sauf çà. Et.. C'est trop con. Vraiment. Mais je me suis mise à imaginer comment faire pour vous prévenir. Donner mes identifiants à ma soeur pour qu'en "cas de problème majeur", elle fasse le nécessaire ? 

Quand j'ai vu le gars sortir en trombe, j'y ai pensé. Puis j'ai oublié jusqu'à il n'y a pas longtemps en voyant le mail du Doyen de notre université nous indiquant que le niveau Vigipirate allant être relevé, nous devions redoubler de vigilance et changer légèrement nos habitudes. C'est pas n'importe quoi, finalement. Et je prends le train à un des points névralgiques de Paris, déjà atteint par un attentat. Alors.. pourquoi pas ? 

En espérant que ce que je vienne d'écrire ne me porte pas malheur ( ;) ), je tiens à préciser que ceci n'est pas un post "triste". C'est une question qui me trotte dans la tête. Et il faut bien que je l'écrive, hein.

Reste en mémoire un truc que m'avait dit M. : " et sur son blog, son père avait marqué ... est décédée ".
çà aussi, çà m'a profondément choquée. Le mot Fin écrit en plusieurs mots. Mais la vraie Fin irrémédiable. 

Extrait de la Vie, le Mercredi 10 novembre 2010 à 8:55.

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